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Histoire d’une conquête

Chamsya , copie conforme de la Terre

Colonisée il y a environ 300 années, Chamsya a été découverte 5 ans avant sa colonisation lors d’un voyage d’excursion effectué par des chercheurs terriens dans le cadre du projet Linux. Ce projet consistait à trouver un nouvel espace habitable et abritant de nouvelles ressources naturelles.

La colonisation de la « nouvelle Terre »

C’est en 3007 que débuta Linux. Ce voyage d’excursion emmena alors une trentaine de chercheurs vers cette « nouvelle Terre ». Le voyage s’est fait en vaisseau autoguidé et pendant ces deux ans tous les passagers étaient endormis. A leur arrivée, ils établirent une base dans une forêt riche, où la faune et la flore étaient abondantes, et près d’un cours d’eau.

Représentation du vaisseau autoguidé Linuxus
Représentation du vaisseau autoguidé Linuxus

L’exploration de l’inconnu

Durant une année terrienne, l’équivalent de deux années sur Chamsya; ils explorèrent la planète et exploitèrent les différentes ressources.

En voyant que cette planète était parfaitement adéquate, il renvoyèrent le vaisseau sur Terre. Celui-ci arriva en 3014 avec un millier d’Hommes, quelques animaux domestiques, des semences végétales et des médicaments.

Intérieur de Linuxus - Salle d'hibernation
Intérieur de Linuxus – Salle d’hibernation

Colonisation et appropriation de

la planète

A partir de ce moment, ils ont commencé à construire une nouvelle société dans laquelle il pouvaient vivre plus convenablement que sur la Terre.
Ils inventèrent une nouvelle langue (le maliwani) , leur monnaie (le Lupitus)

Nius et Sila, les lunes de Chamsya
Nius et Sila, les lunes de Chamsya

 

Article proposé par :

Cindy L. – Laura B. – Christelle G. – Loïc P.

 

La flore de Celestia

Ombrea bodera :

Arbres vigoureux qui peuvent atteindrent jusqu’à 6 mètres de haut. Ils sont utilisés pour les constructions des maisons et pour faire de l’ombre aux habitants grâce à leurs grandes feuilles.

Luminia :

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Fleurs qui s’agrippent aux murs produisant de la lumière et de l’électricité. Se développant seules pendant une quinzaine de jours, elles illuminent le lagon pendant près d’une année. A leur disparition, elles libèrent des graines qui permettent la floraison d’autres luminia. Elles s’adaptent très bien au climat de l’île . Grâce à leur puissance, elles peuvent éclairer tout un village.

Simlia :

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Arbustes à grandes feuilles que l’on peut trouver dans les plantations sous-marines. Les simlias ont des milliers de couleurs qui changent à chaque floraison, c’est à dire tous les mois. Ils nous offrent un merveilleux spectacle et colorent les plantations.

Baladii :

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Fruits rouges consommables ayant des bienfaits. Ils ont certaines vitamines dont l’homme à besoin et un goût de mangue. Ils sont aussi utilisés en crème pour une hydratation de la peau. On en trouve sur les côtes, ils germent tous les mois sur des arbres d’environ 3 mètres appelés baladiius.

Bodera célia :

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Arbustes contenant des centaines de petites boules transparentes dans lesquelles se trouve du sel. Ces petites boules font à peu près 3 à 4 cm de diamètre et le sel à l’intérieur peut être récolté par les habitants.

 

Article proposé par :

Louise C. et Raïssa S.

BUFADO

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Bufado est un continent désertique situé à l’Est de Sya. Sa superficie est de 16 millions de km². C’est sans doute, le continent le plus vieux de Chamsya puisque son altitude dépasse à peine les 1250 m. Les conditions de vie y sont insupportables puisque pendant l’été, les températures frôlent les 55°C voire 65°C et une fois le soir venu les températures chutent , le minimum qu’on ait observé depuis la colonisation de Chamsya est d’environ 4°C . Sur un an, il ne pleut qu’1 à 10 mm seulement.

Bufado a un relief surprenant mêlant dune de sable, plateaux rocheux et lacs asséchés . Mais Bufado n’a pas encore dévoilé toutes ses merveilles puisque plusieurs chercheurs ont essayé de l’explorer mais les conditions météorologiques et le manque d’eau ne leur permettaient pas d’approfondir leurs recherches. Les spécialistes attendent des technologies terriennes pour pouvoir installer un satellite pour l’observer. Une chose est sûre, Bufado est un réel prodige de cette nature sauvage.

Article proposé par :

Cindy L. – Laura B. – Christelle G